Autres sports, la région sinistrée

La misère des sports de salle La misère des sports de salle
...le passage du rugby au professionnalisme au milieu des années 90 n'a pas arrangé les choses.

Ces sports ont peu de public, donc pour attirer des sponsors...

... et des besoins financiers plus limités aussi.
En parallèle, l'article de L'Indépendant sur Narbonne (rugby, volley et foot, bassin de population ~celui de Tarbes) me semble plus optimiste.

Le foot à Narbonne ?

Il y a aussi des politiques de villes différentes. Deux exemples :
- Montpellier investit massivement dans le sport, notamment collectif et est présent à haut niveau dans un certain nombre de disciplines, tant chez les hommes que chez les femmes ; Istres a aussi fait ça à une époque.
- à 100 km de distance, Avignon fait quasiment impasse sur le sport et préfère baser sa communication sur son festival de théâtre.

Et que dire d'une ville comme Marseille où rien ne pousse à part le football ?

Laurent a écrit:

Le foot à Narbonne ?

J'ai relu (j'aurais pu me tromper)
"le FUN est le plus gros club de l'Aude, avec 450 à 500 licenciés ... un budget de 150 000 euros"
(J'ai aussi trouvé FOOTBALL UNION NARBONNE montée en CFA2 en 2011 ...)

La mairie de Narbonne et le sport : "Cela représente 60 % des subventions qu'on alloue chaque année, avance le député-maire Jacques Bascou. Le sport, c'est un vecteur de communication important pour une ville comme Narbonne, qu'on a parfois du mal à situer à Paris"