Avant SUA-TPR...

L'adversaire. Côté entraîneur
Philippe Bérot : « Relever le défi »


Champion de France avec le SUA en 1988, Philippe Bérot est depuis deux saisons l'entraîneur des lignes arrières du TPR. Une formation bigourdane dixième de Pro D2 qui reste sur une victoire 28-21 le week-end dernier devant Colomiers et qui arrive à Armandie sans pression. Bien que diminué par de nombreuses blessures, l'ours tarbais vendra chèrement sa peau.

Philippe Bérot, le TPR est dixième à une journée de la trêve. Quel bilan faites-vous de cette première partie de championnat ?

Un bilan mitigé. On a effectué un début de saison plutôt correct puis on a eu une période où l'on a été beaucoup moins bien, notamment à domicile.La grippe (H1N1) a compliqué le calendrier, on a dû revoir notre organigramme et enchaîner sept rencontres consécutives. Avec notre effectif assez restreint (28 pros) ça n'a pas été facile surtout que nous avons eu la malchance de perdre trois joueurs pour le reste de la saison (Toetu, Caillet, Siale)...Ce mardi, par exemple, nous étions seulement 16 pros à l'entraînement, on a été obligé de dépouiller le centre de formation pour pouvoir travailler correctement. Bref on fait le dos rond et je peux vous dire qu'on attend la trêve avec impatience.

Septième l'an dernier, quelles sont les ambitions du club cette saison ?

Comme chaque année on veut aller le plus haut possible. Maintenant nous sommes réalistes. Au complet nous avons les moyens de faire quelque chose, là, avec tous ces blessés, ça change un peu la donne. On ne va pas se mentir, en ce moment on regarde plus le bas du tableau que le haut. On prend les matchs les uns après les autres, on voit au jour le jour, il ne faut pas oublier que nous avons eu confirmation de notre maintien en Pro D2 que le 30 juin par la DNACG, on a perdu huit joueurs, on en récupère deux sur la liste de Provale, ce ne sont pas les meilleures conditions pour préparer une saison. Maintenant nous avons la chance d'avoir un groupe qui ne lâche rien, qui veut avancer,de ce point de vue là on est très satisfait.

Votre équipe l'a prouvé le week-end dernier contre Colomiers (victoire 28-21)...

Oui,c'était important de réagir après la claque reçue à la maison contre Lannemezan. Un match pour la petite histoire que l'on n'aurait jamais dû perdre et où l'on nous refuse deux essais parfaitement valables...Là contre Colomiers on savait qu'une victoire nous remettrait à flot, au contraire une défaite nous aurait mis encore plus en difficulté. On a gagné, c'est bien même si on ne s'est pas totalement lâché. On a senti une équipe qui avait peur, une équipe qui balbutie un peu son rugby.Mais il ne faut pas tout noircir non plus, il y a eu des choses intéressantes, c'est ce qu'il faut retenir au final.

Samedi vous vous déplacez chez le leader. Qu'attendre de ce match face au SUA ?

Agen c'est l'épouvantail de ce championnat, on essaiera de faire honneur à cette équipe. On ne peut qu'être admiratifs de ce qu'ils réalisent depuis le début de saison. Ils sont invaincus à domicile ; à l'extérieur, que ce soit chez les petits, moyens ou les gros, ils gagnent partout. Je pense que la déconvenue d'Oyonnax la saison dernière leur a fait du bien, ils sont plus sereins. Cela va être notre match le plus difficile de la saison, il faudra être prêt.

Que craignez-vous dans cette équipe agenaise ?

Beaucoup de choses. Ils sont bons dans tous les secteurs, que ce soit sur les phases statiques, en défense, sur les ballons de récupération… Il n'y a pas trop de points faibles. Ils ont en plus des individualités capables de faire la différence à tout moment. Il ne faudra pas venir la fleur au fusil sous peine de prendre 80 points, déjà que même à 100% on n'est pas à l'abri d'en prendre 30…On va essayer de relever le défi.

Propos recueillis par Alexandre Paillou

Publié le 18/12/2009 12:47 | Recueilli par
Gérald Gauthier.« Ça va plus dépendre d'Agen »

Pro D2 Selon Luc Lafforgue, l'affaire s'annonce compliquée pour les Tarbais.




Quel meilleur témoin que Luc Lafforgue pour nous conter le rugby agenais et la rencontre d'avec Tarbes. L'unique surprise vient du fait que peu d'entre nous pensions voir l'ancien capitaine du SUALG endosser le maillot du CAL. Pour le reste…

Le SUALG, ça représente quoi pour vous ?

« Onze ans de ma carrière et de ma vie. Il n'y a que chez les jeunes à Tarbes, où j'ai passé autant de temps.

Vous regrettez de ne pas avoir prolongé ?

J'espérais une saison supplémentaire mais bon, je comprends aussi leur choix.

Que vous inspire la saison du SUAGL ?

Je pense que c'est vraiment l'épouvantail, qui avance sur les bases du Racing, la saison dernière. Ils se sont donné les moyens pour y arriver, ont réalisé une grosse préparation physique. Et puis il est un signe. Même quand ils ne font pas toujours de grands matchs, ils gagnent.Je les ai vus quelque fois, cette saison, à Colomiers, à Dax où normalement ils auraient dû s'imposer s'ils avaient joué deux mi-temps.
On me dit qu'ils sont chanceux de s'en sortir à Lyon mais je rappellerai qu'ils se sont fait voler à Oyonnax.

Vous êtes resté en contact avec le club ?

J'habite toujours à Agen. Je partage la musculation avec les joueurs et je suis sur Lannemezan, le mardi, le mercredi et le vendredi.

On sait les attaches qui vous lient au tandem Lanta-Deylaud....

Je me suis régalé avec ces deux. Ce sont de très, très bons entraîneurs qui allient à leur connaissance du jeu, l'aspect humain.Il ne faut pas se leurrer si des gars comme Gélez et la « Pépite » (Elhorga) sont restés si longtemps à Agen, c'est en grande partie pour eux. Deylaud-Lanta, c'est aussi une philosophie de jeu qui nous correspondait.

Justement, une philosophie qu'ils semblent poursuivre en Pro D2,alors qu'on a longtemps dit que le jeu y était restreint, qu'un bon pack et un buteur étaient suffisants pour s'imposer...

C'est très adaptable. La Pro D2 est en progrès et si vous regardez les équipes qui occupent le haut du tableau, à commencer par Narbonne,on se rend compte que ce sont des équipes qui jouent.

Venons-en à samedi. Comment voyez-vous cette confrontation entre le SUALG et le TPR ?

Je crois que ça va dépendre surtout de l'état d'esprit dans lequel vont se trouver les Agenais.Mais pour moi, ils vont vouloir bien terminer avant les fêtes.Franchement, j'ai peur que ça soit compliqué pour les Tarbais, d'autant qu'ils ne paraissent pas en grande forme, actuellement.

On parle du TPR. Comment avez-vous vécu la victoire du CAL à Trélut ?

Très bien, cela nous a permis d'ouvrir le compteur. Et puis notre président avait été très explicite par rapport à ce match durant la semaine qui a précédé…

Las, Aurillac est passé par là....

Oui mais franchement, je n'ai pas trouvé que cette équipe nous était supérieure. À part Oyonnax et Agen qui nous ont dominés, les autres… Je dirai même que d'un point de vue du jeu, le nôtre est très intéressant.On fait par instants de très, très bonnes choses, le seul truc, c'est qu'on commet parfois des fautes qui remettent les autres dans le coup. »

À titre personnel, où en êtes-vous ?

Je souffre d'un décollement aponévrotique de la jambe droite.J'attends de voir si je dois me faire opérer, comme cela a été le cas pour ma jambe gauche.Le tout est de savoir si suite aux examens qui ont montré que j'avais du liquide qui se baladait encore dans la jambe, celui-ci aura tendance à disparaître ou pas.Dans le cas contraire, je vais passer sur le billard, ce qui impliquera cinq à six semaines d'arrêt.

Décidément, cette saison est galère. Vous avez envie de poursuivre votre carrière ?

Oui, sans hésiter, j'ai toujours autant envie. Maintenant à mon âge,c'est plutôt le physique qui décide. Je n'ai pas le moindre regret, non plus, d'être venu à Lannemezan. Ici, je vis une aventure humaine qui me plaît. Et puis, c'est bien aussi de se construire dans la difficulté.

Olive a écrit:

Publié le 18/12/2009 12:47 | Recueilli par
Gérald Gauthier.« Ça va plus dépendre d'Agen »

Pro D2 Selon Luc Lafforgue, l'affaire s'annonce compliquée pour les Tarbais.




Quel meilleur témoin que Luc Lafforgue pour nous conter le rugby agenais et la rencontre d'avec Tarbes. L'unique surprise vient du fait que peu d'entre nous pensions voir l'ancien capitaine du SUALG endosser le maillot du CAL. Pour le reste…

Le SUALG, ça représente quoi pour vous ?

« Onze ans de ma carrière et de ma vie. Il n'y a que chez les jeunes à Tarbes, où j'ai passé autant de temps.

Vous regrettez de ne pas avoir prolongé ?

J'espérais une saison supplémentaire mais bon, je comprends aussi leur choix.

Que vous inspire la saison du SUAGL ?

Je pense que c'est vraiment l'épouvantail, qui avance sur les bases du Racing, la saison dernière. Ils se sont donné les moyens pour y arriver, ont réalisé une grosse préparation physique. Et puis il est un signe. Même quand ils ne font pas toujours de grands matchs, ils gagnent.Je les ai vus quelque fois, cette saison, à Colomiers, à Dax où normalement ils auraient dû s'imposer s'ils avaient joué deux mi-temps.
On me dit qu'ils sont chanceux de s'en sortir à Lyon mais je rappellerai qu'ils se sont fait voler à Oyonnax.

Vous êtes resté en contact avec le club ?

J'habite toujours à Agen. Je partage la musculation avec les joueurs et je suis sur Lannemezan, le mardi, le mercredi et le vendredi.

On sait les attaches qui vous lient au tandem Lanta-Deylaud....

Je me suis régalé avec ces deux. Ce sont de très, très bons entraîneurs qui allient à leur connaissance du jeu, l'aspect humain.Il ne faut pas se leurrer si des gars comme Gélez et la « Pépite » (Elhorga) sont restés si longtemps à Agen, c'est en grande partie pour eux. Deylaud-Lanta, c'est aussi une philosophie de jeu qui nous correspondait.

Justement, une philosophie qu'ils semblent poursuivre en Pro D2,alors qu'on a longtemps dit que le jeu y était restreint, qu'un bon pack et un buteur étaient suffisants pour s'imposer...

C'est très adaptable. La Pro D2 est en progrès et si vous regardez les équipes qui occupent le haut du tableau, à commencer par Narbonne,on se rend compte que ce sont des équipes qui jouent.

Venons-en à samedi. Comment voyez-vous cette confrontation entre le SUALG et le TPR ?

Je crois que ça va dépendre surtout de l'état d'esprit dans lequel vont se trouver les Agenais.Mais pour moi, ils vont vouloir bien terminer avant les fêtes.Franchement, j'ai peur que ça soit compliqué pour les Tarbais, d'autant qu'ils ne paraissent pas en grande forme, actuellement.

On parle du TPR. Comment avez-vous vécu la victoire du CAL à Trélut ?

Très bien, cela nous a permis d'ouvrir le compteur. Et puis notre président avait été très explicite par rapport à ce match durant la semaine qui a précédé…

Las, Aurillac est passé par là....

Oui mais franchement, je n'ai pas trouvé que cette équipe nous était supérieure. À part Oyonnax et Agen qui nous ont dominés, les autres… Je dirai même que d'un point de vue du jeu, le nôtre est très intéressant.On fait par instants de très, très bonnes choses, le seul truc, c'est qu'on commet parfois des fautes qui remettent les autres dans le coup. »

À titre personnel, où en êtes-vous ?

Je souffre d'un décollement aponévrotique de la jambe droite.J'attends de voir si je dois me faire opérer, comme cela a été le cas pour ma jambe gauche.Le tout est de savoir si suite aux examens qui ont montré que j'avais du liquide qui se baladait encore dans la jambe, celui-ci aura tendance à disparaître ou pas.Dans le cas contraire, je vais passer sur le billard, ce qui impliquera cinq à six semaines d'arrêt.

Décidément, cette saison est galère. Vous avez envie de poursuivre votre carrière ?

Oui, sans hésiter, j'ai toujours autant envie. Maintenant à mon âge,c'est plutôt le physique qui décide. Je n'ai pas le moindre regret, non plus, d'être venu à Lannemezan. Ici, je vis une aventure humaine qui me plaît. Et puis, c'est bien aussi de se construire dans la difficulté.

A l'écouter, Lannemezan a une super équipe! pUTAIN? IL A DE LA M.....dans les yeux!

Publié le 19/12/2009 03:53 | LaDepeche.fr
Six essais et bonus


Ce dimanche 8 février, le SUA a livré à Armandie, face au TPR (Tarbes Pyrénées Rugby) sont plus beau match de la saison. Après la contre-performance d'Oyonnax, le SUA-LG a bien réagi, face à une formation qui n'a jamais fermé le jeu, même si le score peut paraître un peu lourd, pour des visiteurs qui n'ont jamais rien lâché et qui étaient encore à 7 points des suavistes à la 60e minute.Engagement, mouvement, ce match n'a pu que combler les quelque six mille spectateurs présents. D'autant que six essais et un bonus offensif sont venus récompenser les intentions agenaises.Le SUA qui a débuté la rencontre vent dans le dos n'a pas laissé le doute planer longtemps en marquant deux essais en dix minutes. Dès l'entame, Adri Badenhorst, excellent ce jour-là, a déchiré le rideau tarbais, il a été relayé par Denêtre et Huget qui est allé aplatir sous les poteaux. Il n'aura pas fallu attendre longtemps pour voir les suavistes scorer de nouveau, cette fois par le n° 8 Fonua. Menés rapidement au score, les Tarbais n'ont jamais baissé les bras dans cette rencontre. S'ils n'ont marqué qu'un essai par Dabrin suite à celui de Fonua, leur buteur Teague, avec six réussites au pied, s'est chargé de maintenir l'espoir chez les siens. Mais cet après-midi-là, il était dit que les suavistes ne pouvaient pas perdre. En marquant trois essais par Sylvain Dupuy, intenable derrière ses « gros » et un dernier par Saïmoni Vaka, le SUA avait fait oublier le voyage et la défaite à Oyonnax.

Publié le 19/12/2009 03:52 | LaDepeche.fr
Le SUA n'a pas peur de l'ours

Pro D2. 15e journée. Agen - Tarbes




LE SUA qui s'est sorti, non sans mal, du piège lyonnais doit-il craindre l'ours tarbais ce soir ?

Les griffes du TPR (Tarbes Pyrénées Rugby) seraient plus acérées que les crocs du LOU ? On ne le pense pas. La seule chose que l'on pourrait craindre, c'est une forme de démobilisation des Agenais, après deux rencontres taille patron, à Narbonne et à Lyon. « Ne pas prendre cet adversaire au sérieux, ce serait mal nous connaître, le classement de cette équipe est trompeur ». Avec Christian Lanta, pas de souci de relâchement.
L'entraîneur n'a pas l'intention de laisser « retomber le soufflet » avant la pause de quinze jours. Ce soir, i l faut vaincre Tarbes et si le point de bonus offensif est au bout, tant mieux.Le SUA a beau, depuis sa victoire à Lyon, être champion d'automne, a beau être bien calé dans le fauteuil de leader, le onzième de la ProD2, le TPR sera reçu et respecté comme il se doit, ce soir.
Avec 52 points au compteur, onze victoires et trois défaites, les suavistes sont aujourd'hui dans « les temps de passage » pour le Top14. Si le SUA s'imposait ce soir, à mi-parcours du championnat de ProD2 (sans bonus), il serait à 56 points.Pour la petite histoire, et au même stade de la compétition, le Racing-Métro en avait 54 l'an passé et le Racing-Club toulonnais 57, un an plus tôt. Rappelons également que depuis 2005, le champion d'automne a toujours été sacré en fin de saison…

PETITE VICTOIRE

On n'imagine donc pas un instant les Tarbais venir s'imposer à Armandie. D'autant que les dernières sorties du TPR, défaite « à la maison » face au voisin Lannemezan et petite victoire, toujours à Maurice-Trélut face à Colomiers n'auraient pas été des plus convaincantes.Christian Lanta qui n'a pas manqué de visionner les dernières sorties des Pyrénées a surtout relevé que les visiteurs, hormis une fois à Lyon (défaite 43-14), étaient « plus à l'aise à l'extérieur ».Une chose est sûre, cette équipe de Tarbes viendra sans pression, mais il serait étonnant que Philippe Bérot, l'entraîneur visiteur, qui a porté les couleurs suavistes, accepte de prendre « cher ». Sans pression ne veut pas dire sans intention, donc… méfiance.Christian Lanta va aligner sa meilleure équipe du moment. Il va pouvoir (enfin) aligner son joker médical Lisiate Faoso qui dispose de sa licence depuis le début de la semaine.« j'aime beaucoup ces rencontres à domicile à la veille des fêtes »,avait déclaré le coach dernièrement. On peut donc espérer qu'une fois la bâche qui couvre la pelouse d'Armandie levée, le spectacle de fin d'année soit à la hauteur des ambitions suavistes… Ensuite, le SUA pourra souffler et passer les réveillons au chaud. J.-P. Delserre

Olive a écrit:

Publié le 19/12/2009 03:52 | LaDepeche.fr
Le SUA n'a pas peur de l'ours

Pro D2. 15e journée. Agen - Tarbes




PETITE VICTOIRE

On n'imagine donc pas un instant les Tarbais venir s'imposer à Armandie.

Je n'imaginais pas un instant non plus que le CAL viendrait l'emporter à Tarbes; mais là c'est différent because l'arbitre sera surement du côté du plus fort ce qui n'était pas le cas à Trélut.

Olive a écrit:

Publié le 19/12/2009 03:53 | LaDepeche.fr
Six essais et bonus


Ce dimanche 8 février, le SUA a livré à Armandie, face au TPR (Tarbes Pyrénées Rugby) sont plus beau match de la saison. Après la contre-performance d'Oyonnax, le SUA-LG a bien réagi, face à une formation qui n'a jamais fermé le jeu, même si le score peut paraître un peu lourd, pour des visiteurs qui n'ont jamais rien lâché et qui étaient encore à 7 points des suavistes à la 60e minute.Engagement, mouvement, ce match n'a pu que combler les quelque six mille spectateurs présents. D'autant que six essais et un bonus offensif sont venus récompenser les intentions agenaises.Le SUA qui a débuté la rencontre vent dans le dos n'a pas laissé le doute planer longtemps en marquant deux essais en dix minutes. Dès l'entame, Adri Badenhorst, excellent ce jour-là, a déchiré le rideau tarbais, il a été relayé par Denêtre et Huget qui est allé aplatir sous les poteaux. Il n'aura pas fallu attendre longtemps pour voir les suavistes scorer de nouveau, cette fois par le n° 8 Fonua. Menés rapidement au score, les Tarbais n'ont jamais baissé les bras dans cette rencontre. S'ils n'ont marqué qu'un essai par Dabrin suite à celui de Fonua, leur buteur Teague, avec six réussites au pied, s'est chargé de maintenir l'espoir chez les siens. Mais cet après-midi-là, il était dit que les suavistes ne pouvaient pas perdre. En marquant trois essais par Sylvain Dupuy, intenable derrière ses « gros » et un dernier par Saïmoni Vaka, le SUA avait fait oublier le voyage et la défaite à Oyonnax.

tiens il est revenu au TPR ??
a+

Olive a écrit:

Publié le 19/12/2009 03:53 | LaDepeche.fr
Six essais et bonus


Ce dimanche 8 février, le SUA a livré à Armandie, face au TPR (Tarbes Pyrénées Rugby) sont plus beau match de la saison. Après la contre-performance d'Oyonnax, le SUA-LG a bien réagi, face à une formation qui n'a jamais fermé le jeu, même si le score peut paraître un peu lourd, pour des visiteurs qui n'ont jamais rien lâché et qui étaient encore à 7 points des suavistes à la 60e minute.Engagement, mouvement, ce match n'a pu que combler les quelque six mille spectateurs présents. D'autant que six essais et un bonus offensif sont venus récompenser les intentions agenaises.Le SUA qui a débuté la rencontre vent dans le dos n'a pas laissé le doute planer longtemps en marquant deux essais en dix minutes. Dès l'entame, Adri Badenhorst, excellent ce jour-là, a déchiré le rideau tarbais, il a été relayé par Denêtre et Huget qui est allé aplatir sous les poteaux. Il n'aura pas fallu attendre longtemps pour voir les suavistes scorer de nouveau, cette fois par le n° 8 Fonua. Menés rapidement au score, les Tarbais n'ont jamais baissé les bras dans cette rencontre. S'ils n'ont marqué qu'un essai par Dabrin suite à celui de Fonua, leur buteur Teague, avec six réussites au pied, s'est chargé de maintenir l'espoir chez les siens. Mais cet après-midi-là, il était dit que les suavistes ne pouvaient pas perdre. En marquant trois essais par Sylvain Dupuy, intenable derrière ses « gros » et un dernier par Saïmoni Vaka, le SUA avait fait oublier le voyage et la défaite à Oyonnax.

C'est le compte-rendu du match de l'an dernier, ça !