Vous avez dit SODOMIE ARBITRALE ????

Lu dans Tarbes Info et vraiment une vision objective de ce match où un rigolo se disant arbitre nous a enfilé sans que quiconque ne bronche. Il est certain que les Palois et leur budget ne pouvaient laisser insensible la Ligue et que certaines directives doivent être appliquées afin de leur donner un "petit" coup de pouce :
"Fallait-il sauver le soldat Pau ? C’est la question qu’on est en droit légitime de se poser au vu de la prestation du trio arbitral aussi pointilleux avec les Bigourdans que laxiste avec les Béarnais notamment sur les mauls et les hors-jeu. Sans parler des deux cartons jaune simultanés à Muzzio, dans une mêlée enfoncée par le pack tarbais, et à Iribaren pour un plaquage dangereux, qui ont laissé les Bigourdans à 13 contre 15. A ce moment là le TPR s’était montré le plus entreprenant et méritait largement ses six points d’avance au score. A 13 contre 15 les Palois ont été incapables de marquer. A 9-0 à la mi-temps on n’était pas rassuré compte tenu du comportement des arbitres de touche plus prompts à signaler les fautes du TPR que celles de la Section. L’arbitrage en seconde période frisa même le harcèlement et le ridicule avec des en-avants, des touches pas droites, des fautes grossières en mêlée et dans les mauls, oubliés côté palois. Alors qu’à la moindre peccadille, les Tarbais étaient sanctionnés permettant à Pau de se sortir de situations difficiles ou d’engranger des points. Certes on peut dire que les Tarbais, notamment sur la pénalité qui a offert la victoire à Pau, ont tendu le sifflet à l’arbitre. A égalité à la dernière minute, Siale n’aurait pas dû se lancer dans une relance hasardeuse compte tenu de la tournure de l’arbitrage mais sur cette action un Palois est intervenu sur le côté du ruck et M. Attalah a choisi de sanctionner le Tarbais. Offrant des 30 m face la victoire aux Palois qui n’en demandaient pas tant. Et cerise sur le gâteau après la sirène, alors que les Tarbais jouaient leur va-tout dans les trente mètres béarnais, M. Attalah s’empressa d’offrir aux Béarnais une ultime pénalité qui mettait fin à la rencontre. Si les Palois s’offrirent quelques occasions d’essais, c’est surtout sur des contres alors que les Tarbais se procurèrent autant si ce n’est plus d’occasions sur des actions construites. De plus, un essai a été refusé à Coetzer alors qu’aucun béarnais ne s’est approché à moins de cinq mètres de la ligne."   

Si l'arbitre s'en mêle, comment faire de bons pronostics !!!!!!!

c'est là toute la difficulté et la beauté de l'art !